L’éthique et l’intégrité scientifique sont au centre des métiers de la recherche, et représentent aujourd’hui une priorité recherche de l’université. Ce mois de novembre 2022 a marqué la mise en place d’un nouveau réseau de correspondants éthique et intégrité, qui se sont réunis pour la première fois le 7 et 8 novembre pour se former, définir leurs missions et esquisser une charte éthique et intégrité.
Pascale Molinier, Vice-Présidente de la Commission de la Recherche, les trois chargés de mission recherche, Nadine Varin-Blank, Charles Desfrancois, et Corinne Vercher-Chaptal, ainsi que Noureddine Jouini, référent intégrité scientifique et déontologie et le BRED (Bureau de la Recherche et des Études Doctorales), ont organisé le 1er séminaire éthique et intégrité scientifique de l’université en ce début novembre 2022.
Les nouveaux correspondants éthiques et intégrité scientifique de l’université se sont donc réunis pour la première fois à l’abbaye de Royaumont le 7 et 8 novembre. Choisis par les directeurs de chaque laboratoire de l’université, ceux-ci ont vocation à faire le lien entre le référent intégrité scientifique et déontologie, Noureddine Jouini, et les membres des laboratoires, afin de diffuser efficacement les bonnes pratiques en matière d’éthique et d’intégrité.
Ces deux jours ont été l’occasion de former ces correspondants, leur présenter le comité d’éthique de la recherche, les initier aux grandes questions de l’intégrité scientifique, des droits d’auteur, de la transparence, ou encore de la science ouverte. Le séminaire s’est conclu par l’esquisse d’une charte intégrité scientifique de l’université, et la définition des missions de ces correspondants. De prochaines réunions spécifiques à chaque domaine de recherché sont déjà prévues, afin par exemple de créer des cahiers de manipulation pour les laboratoires expérimentaux.